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LA BACTÉRIE TUEUSE ...

 

Bébés de Chambéry : on connaît enfin le nom de la bactérie tueuse
Par Lise Loumé


C'est un micro-organisme jusqu'alors inconnu qui a causé le décès de trois nouveau-nés à l'hôpital de Chambéry en décembre 2013.

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FAITS. En décembre 2013, trois nourrissons décédaient d’un choc septique (insuffisance circulatoire aiguë due à une infection bactérienne) à l'hôpital de Chambéry. Tous avaient reçu des éléments nutritifs (glucose, lipides, vitamines, etc.), via la perfusion de poches alimentaires. En analysant ces poches (censées être stériles comme tous les produits injectables), des chercheurs de l’Institut Pasteur avaient établi dès janvier 2014 que six d’entre elles étaient contaminées par une bactérie jusqu'alors inconnue.
Vers un test qui détecte cette bactérie
Baptisée par les chercheurs Rouxiella chamberiensis (en références à Émile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur, et au lieu de la découverte), cette bactérie vient d’être officiellement reconnue par le Comité international de taxonomie bactérienne. Les scientifiques ont publiés ce mardi 17 mars 2015 un article dans la revue International Journal of Systematic and Evolutionary Microbiology dans lequel ils indiquent l’ensemble des données de séquençage du génome de la bactérie ainsi que sa caractérisation complète.

Et cette bactérie possède une propriété étonnante : elle se multiplie à une température de 4°C, alors que la plupart des bactéries de sa famille (appelées entérobactéries, représentées dans l'arbre phylogénétique ci-dessous) sont incapables de se développer en-dessous de 8°C. De plus, elle se met en latence et cesse sa croissance à 37°C. "Les souches bactériennes isolées, ainsi que toutes les données génomiques collectées ont été mises à disposition de la communauté scientifique en libre accès", précise l'Institut Pasteur.

Arbre phylogénétique des bactéries. Pourcentage de divergence.
Les scientifiques publient aujourd’hui l’article instituant la reconnaissance officielle et la caractérisation complète de cette bactérie, appartenant à un nouveau genre. Celle-ci a été baptisée Rouxiella chamberiensis, en hommage à Emile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur qui dirigea l’Institut Pasteur de 1904 à 1933. L’ensemble des données de séquençage, ainsi que de la caractérisation de cette bactérie, ont été mis à disposition de la communauté scientifique et médicale. - See more at: http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/documents-presse/nourrissons-chambery-rouxiella-chamberiensis-nouvelle-bacterie-identifiee-par-l-institut-pasteur-officiellement-reconnue#sthash.VxvS0oBe.dpuf
ENQUÊTE. Les chercheurs de l'Institut Pasteur travaillent actuellement à la mise au point d’un test de détection spécifique à Rouxiella chamberiensis. Par ailleurs, ils doivent également apporter leur expertise dans le cadre de l’enquête judiciaire, qui devrait permettre d’établir le scenario de contamination des poches de nutrition, et de comprendre d’où provient cette bactérie, ainsi que son mode d’action.

 

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LES FRITES DE McDonald's

 

 McDonald's : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés

FRITES. Bon, déjà, on vous rassure tout de suite, il y a bel et bien de la pomme de terre dans les frites de McDonald's. Pour le reste, c’est plus compliqué… Pas moins de 18 autres ingrédients sont utilisés. L'ingénieur journaliste Grant Imahara, diplômé de l'université Californie du Sud, a été accueilli dans une usine de fabrication pour suivre l'ensemble de la chaîne de fabrication, assez impressionnante. Pour autant, il ne faut pas s'attendre à des révélations fracassantes puisque la visite a été très encadrée et sert désormais la promotion du géant de la "junk-food"... Parmi ces ingrédients on trouve des composants assez classiques comme le sel bien sûr, mais aussi l'huile de canola, de soja, des arômes naturels de bœuf ou de l'acide citrique. Plus surprenant en revanche, le recours à une forme de silicone assez commune dans les shampoings : le dimethylpolysiloxane (persévérez…) qui est ajouté pour éviter que l’huile ne mousse au moment de la cuisson. Un composé également utilisé dans les sodas au cola. Ou dans le Silly Putty, un caoutchouc très particulier.



APPROUVÉ. Selon le reportage (approuvé par McDonald's) aucun de ces composants ne constitueraient un risque pour la santé des consommateurs. Notons néanmoins que les recettes commercialisées sont parfois très différentes d'un pays à l'autre. Rien ne nous permet donc d'affirmer que, si vous ne vivez pas aux États-Unis, les frites que vous trouverez à votre prochain passage au fast-food sont faites de la même façon que cela est présenté dans ce reportage. Rappelons en outre que les produits proposés par les fast-foods sont en général très riches en graisses et tendent à favoriser l'explosion du nombre de personnes obèses risquant à terme de développer des maladies comme un diabète de type 2.


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LE BIG MAC ...

 

Ces substances que nous cache… le Big mac !


Si on pense aux produits symboles de la mondialisation, le produit phare du géant du fast-food McDonald’s, le Big Mac, hamburger de deux étages que tout le monde connaît, fait partie des plus évidents exemples. Il est incontournable dans notre série « Ces substances que nous cachent…. les produits stars« . Oui, au fait, le Big Mac aurait-il des choses à nous cacher ?
Au sommaire :
Ces substances que nous cache… le Big mac !
Big Mac : à quelle sauce le manger ?
Le Big Mac, bombe calorique
Où peut-on échapper à McDonald’s dans le monde ?
Comment éviter les pièges du marketing alimentaire ?
Bientôt plus de gobelets en polystyrène chez Mc Do
Le burger le plus répandu dans le monde
Jon Betts Une photo représentant le Big Mac.
C’est à Pittsburg en 1967 qu’est né le Big Mac. Il a été « inventé » par un responsable de restaurants McDonalds en franchise, Jim Delligatti. Il voulait trouver un produit qui se vende bien et qui fasse venir les gens dans les 12 restaurants en franchise qu’il possédait à Pittsburg.
Le burger à 2 étages, avec 2 steaks, de la sauce (dont la recette était soi-disant secrète !), de la laitue, du fromage, des oignons et du pain aux graines de sésame était né. Il a tout de suite fait fureur ! Mais il a fallu attendre plus de 2 ans avant que la direction de McDonalds accepte de le mettre au menu de tous ces restaurants.
Planetoscope : aujourd’hui, le Big Mac est vendu dans plus de 120 pays et à plus de 900 millions d’unités dans le monde par an.
Le Big Mac, tout beau, tout bon ?
Pourquoi un simple burger a-t-il eu, et a-t-il toujours autant de succès dans le monde ?
1- Un look de pub !
On a tous en tête une image publicitaire du Big Mac. Il est vrai que la photo est belle : 1 pain grillé au sésame, 2 steaks hachés cuits à point, du fromage fondant, quelques feuilles de salade bien verte, des cornichons, des mini-bouts d’oignons et une sauce qui dégouline légèrement. Ça c’est sur la photo. Et ça peut effectivement faire envie…
La réalité est tout autre. Tout est plus petit, beaucoup moins coloré, beaucoup plus ratatiné sous la tranche de pain ! La salade s’éparpille et le fromage colle à l’emballage… Une vidéo de McDonald’s Canada tente de nous expliquer pourquoi Big Mac est si séduisant à la télé.


Il est vrai que si les produits étaient un peu plus gros et si les employés prenaient plus leur temps pour cuisiner, l’aspect serait peut-être plus soigné. Dans ce cas-là, on n’appellerait plus McDo un fast-food !

2- Le Big Mac, un goût universel ?
L’autre raison qui pourrait expliquer le succès résiderait dans son goût standardisé dans le monde entier. En effet, l’objectif du Big Mac serait d’avoir la même saveur en France qu’au Japon ! N’est-ce pas contradictoire quand on sait que le goût dépend énormément de la culture ? Un chinois n’a pas les mêmes attentes gustatives qu’un mexicain !
En réalité, McDo ferait presque dans le local : le site officiel de la marque affirme que les matières premières sont fournies à 70 % par des producteurs français. C’est le cas de la France et des États-Unis. Mais qu’en est-il des autres pays ? Rien n’est dit sur ce point.
Beaucoup accusent la sauce Big Mac d’être à l’origine de leur addiction au goût du burger. Sa recette n’est plus secrète, comme on le verra plus loin : une vidéo officielle en anglais dévoile un chef McDo en train de la fabriquer. Alors est-ce une sauce vraiment incomparable ou juste… une question d’addiction au gras ?
Les ingrédients et la composition nutritionnelle
Afin de mieux comprendre cet intriguant burger, il a fallu aller piocher des informations sur la composition du produit sur le site français officiel  : «Deux steaks hachés, du cheddar fondu, 3 buns de pain, des oignons, des cornichons, deux lits de salade et une sauce inimitable». Pas beaucoup d’informations sur les ingrédients, mais un tableau nutritionnel est présent donnant quelques informations sur le site (voir également sur mcdonaldsmenu.info). Il faut aller sur le site américain pour en savoir un peu plus sur la liste des ingrédients.
Dans la suite de l’article, les informations sur les ingrédients en France sont néanmoins traitées. Les informations sont fournies par l’Agence Protéines (conseil en nutrition de Mcdonald’s France).
1- Des additifs dangereux
Première impression en lisant les ingrédients : on identifie seulement la moitié des composants ! Les autres sont plus subtils, et ce sont pour la plupart des additifs alimentaires (donc des E…). Si de nombreux ne sont pas dangereux, un bon paquet est à éviter et certains pourraient même être cancérigènes !

Les additifs à éviter si possible !
Les additifs suivants sont dans le Big Mac : propionate de calcium E282 (dérivé de l’acide propionique E280 pouvant être cancérigène selon les sources1),  acide lactique E270 (peut être d’origine transgénique), benzoate de sodium E211 (potentiellement cancérigène et allergène2), E200 (interdits en agriculture bio),  lécithines E322 (non toxique mais peut être transgénique) > Les additifs alimentaires : la fiche pratique
Par la suite, l’Agence Protéine (agence en conseil et qualité nutrition de McDonald’s France) a fait part de ses remarques : « la sécurité de chaque additif autorisé en Europe fait l’objet d’une évaluation menée par l’EFSA.
Leur utilisation est autorisée par la Commission Européenne, après évaluation et démonstration de leur sécurité et innocuité. Ils ne présentent donc aucun risque pour la santé.«
2- Des OGM dans le Big Mac ?
Et en ce qui concerne les OGM ? Beaucoup d’entre nous auraient tendance à dire que le McDo c’est du 100 % OGM, cependant en regardant le site officiel on risque d’être surpris.
Les produits ne sont en effet pas étiquetés OGM conformément à la loi française : en effet, « Un produit « non OGM » est un produit qui contient moins de 0,9 % d’OGM. Au dessous de ce seuil, l’étiquetage « peut contenir des OGM » n’est pas obligatoire« . Alors en dessous de ce seuil, il risque d’y en avoir ? La réponse est clairement oui, mais pas moyen de le savoir avec certitude.
On sait cependant que certaines matières premières ont dû être quand même remplacées pour être conformes à la loi française : les huiles de soja ont fait place à l’huile de colza non OGM. Concernant la nourriture des animaux, elle est garantie non OGM pour les poulets, mais pas pour les boeufs à cause de la « complexité de la filière bovine« .

 

DOCUMENT        consoglobe.com       LIEN

 
 
 
 

ACCRO AU SUCRE

 

Sucre et cocaïne même combat ? Si l'idée de considérer le sucre comme une drogue est difficile à accepter, ses effets sur le cerveau ne sont pas si éloignés de ceux d'une drogue. 10% des consommateurs risqueraient même de devenir dépendants au sucre.


Certains le surnomment "l'autre poudre blanche"... Si on ne parle pas réellement de "shoot de sucre", les similitudes entre ce produit et les substances psychoactives sont troublantes. Tout comme la cocaïne, l'héroïne, ou l'alcool, le sucre, en pénétrant dans l'organisme, active le circuit de la récompense : le réseau dopaminergique. Lorsqu'il fond sur la langue, le produit sucré, via les récepteurs du goût, parvient en une fraction de seconde au cerveau. S'en suivent alors plaisir et envie d'en consommer d'avantage...


Comment définir l'addiction ?
"On parle d'addiction quand il y a une perte de contrôle sur la consommation, quand un individu souhaite arrêter un produit mais n'y arrive pas, alors qu'il est conscient que la drogue a des conséquences négatives sur sa vie", explique Serge Ahmed. Au total, onze critères comportementaux ont été établis pour détecter une addiction, mais il suffit d'en manifester seulement deux pour être considéré comme faiblement dépendant.


Le réseau dopaminergique est la clé de voute du mécanisme de la dépendance. La prise répétée d'une drogue dérégule progressivement les neurones impliqués dans ce circuit de la récompense. "Pour devenir dépendant à n'importe quelle drogue, il faut que la consommation soit renouvelée fréquemment, comme lors d'une prise régulière de produits sucrés par exemple", précise Serge Ahmed, directeur de recherche au CNRS et responsable de l'équipe "Addiction, compulsion et syndrome de dysrégulation dopaminergique" à Bordeaux. La dépendance à un produit entraîne une perte de contrôle responsable d'une escalade de la consommation.
Le pouvoir addictif du sucre aussi fort que celui de la cocaïne ?
Ce phénomène d'addiction se retrouve t-il chez les consommateurs de sucre ? Oui, si l'on croit les expériences menées depuis une dizaine d'années. En 2007, Serge Ahmed teste pour la première fois ces hypothèses. Avec son équipe, il met à disposition de rats deux produits : d'un coté de la cocaïne, de l'autre de l'eau sucrée. Au bout de quelques semaines, les rats sont 90% à se détourner de la drogue au profit du sucre. Le pouvoir addictogène du sucre apparaît alors. Néanmoins, il faut rester prudent sur les extrapolations de ces résultats à l'homme.
"Chez l'homme, on estime que 6 à 10% des personnes pourraient être exposées à une dépendance au sucre" ajoute le chercheur, pour qui l'augmentation de l'obésité depuis les années 70 est probablement liée à l'explosion des produits industriels transformés et trop sucrés. Au début du XIXème siècle, les Français consommaient à peine un kilo de sucre par an et par personne. Aujourd'hui ce sont plus de 30 kilos qui sont consommés.



Est-ce le goût sucré qui rend accro ?
Après avoir activé le circuit de la récompense via la langue, le sucre passe dans le sang pour atteindre les récepteurs cérébraux du glucose et réactiver une seconde fois le réseau dopaminergique. Un double effet, qui survient 10 à 15 minutes après l'ingestion. Et cette deuxième activation est bien plus pernicieuse. "Le glucose ajouté dans les produits industriels oriente à notre insu notre cerveau vers une appétence pour le sucre, même si ces produits n'ont pas un gout sucré", explique Serge Ahmed. Il n'y a donc pas que les sucreries qui risquent de créer une dépendance, mais aussi tous les produits contenant du sucre caché : ketchup, soupes industrielles, plats préparés, etc.


Peut-on être accro aux édulcorants?
La question est complexe et reste à explorer. L'hypothèse principale est que, si l'édulcorant est consommé en même temps que d'autres produits caloriques, il a un risque potentiel de devenir addictogène car le cerveau peut l'interpréter, à tord, comme du sucre. En revanche, si ces faux sucres sont consommés en dehors des repas, sans apports caloriques, comme dans des sodas par exemple, les risques qu'ils entraînent une addiction sont faibles.
En définitive, le goût sucré n'aurait qu'une faible importance pour le cerveau. L'hypothèse a été vérifiée par une expérience chez des souris, mutées pour ne plus avoir de récepteurs gustatifs au sucre. Les chercheurs leur proposaient deux biberons : l'un avec de l'eau plate, l'autre avec de l'eau sucrée. "Au début, les souris choisissaient à part égale soit l'une soit l'autre. Puis, petit à petit, elles se tournaient toutes vers l'eau sucrée, alors qu'elles ne sentaient pas le gout !" ajoute le chercheur.
Syndrome de sevrage chez le rat
Certains gros consommateurs de sucre rapportent des phénomènes "semblables à un état de manque": anxiété, irritabilité, trouble du comportement. Et chez les rats, tout comme à l'arrêt d'une drogue, des syndromes de sevrage ont été observés. S'il n'est pas rare d'entendre une distinction entre dépendance physique et psychologique, pour Serge Ahmed, cette opposition est une erreur : "ce qu'on appelle le psychologique vient du cerveau, qui est un organe physique. Ces troubles sont donc plus complexes que la simple dissociation entre composantes physiques et psychologiques. Dans tous les cas, la souffrance est réellement là", ajoute-il, mais la notion de dépendance au sucre est encore difficile à accepter.
"On a du mal à imaginer que le sucre puisse être une drogue, notamment parce qu'on en donne tous les jours à nos enfants", se défend Serge Ahmed. "Il y a quarante ans c'était la même chose avec la cigarette : tout le monde fumait sans être conscient des dangers", ajoute t-il. A l'époque, comme peu de fumeurs essayaient d'arrêter le tabac, personne n'avait l'impression de vivre une addiction.
Les recherches sur la dépendance au sucre sont récentes, mais pour Serge Ahmed, la prise de conscience sur les dangers du sucre devrait progressivement émerger dans la conscience collective, "d'ici une vingtaine d'années" conclut-il.

 


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