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CANCER DU PANCRÉAS

 

Le cancer du pancréas : pourquoi il reste le plus dangereux
Par Hugo Jalinière

Publié le 13-11-2014 à 16h36

Ce jeudi 13 novembre, c'est la première journée mondiale de lutte contre le cancer du pancréas, le seul dont la mortalité continue de progresser. Mais pourquoi est-il si meurtrier ?



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FOUDROYANT. C'est l'un des cancers les plus plus agressifs et les plus meurtriers qui soient : le cancer du pancréas touche chaque année en France plus de 10.000 nouvelles personnes (autant d'hommes que de femmes). Et alors qu'une amélioration significative du taux de survie a pu être observée ces dernières années sur de nombreux cancers (prostate, sein...), le cancer du pancréas résiste à tous les efforts de la recherche bio-médicale. C'est même le seul cancer dont la mortalité est en augmentation.


Face à ce constat dramatique, des associations de patients de part le monde et la fondation Arcad en France (Aide et recherche en cancérologie digestive) ont instauré ce jeudi 13 novembre la première journée mondiale de lutte contre le cancer du pancréas. L'objectif ? Mobiliser et informer le public sur un cancer redouté et pourtant méconnu.

Un pronostic sombre

Car le pronostic des personnes atteintes reste particulièrement sombre. Selon les données de l'Institut national du cancer (Inca), tous stades confondus, le taux de survie à 5 ans des patients atteints d'un cancer du pancréas n'est que de 5%. Et même en cas de chirurgie suivie de chimiothérapie, la survie est de l’ordre de 20% à 5 ans. Le cancer du pancréas fait bien partie de ce qu'on appelle les cancers foudroyants.


Une "situation anatomique" qui le rend difficile à dépister

Cela tient d'abord à la difficulté qu'il y a à le dépister. En effet,
le pancréas est un organe digestif profondément enfoui dans l'abdomen, derrière l'estomac et à proximité du foie, de l'intestin et d'un réseau très dense de vaisseaux sanguins.

Cette "situation anatomique"
fait que les symptômes n'apparaissent qu'assez tardivement, à un stade où le cancer a déjà pu métastaser aux organes tout proches. De plus, ces "symptômes" sont peu révélateurs car il ne sont pas spécifiques et peuvent avoir une autre origine que le cancer. Ainsi, seuls 20% des patients sont diagnostiqués à un stade où la tumeur peut encore être opérée.

L'autre facteur qui rend ce cancer si sévère, c'est que les tumeurs qui se logent dans le pancréas sont biologiquement très agressives. Or la promiscuité des autres organes et du réseau de vaisseaux sanguins rend ces derniers particulièrement vulnérables aux métastases. Autant d'obstacles à la solution chirurgicale.

Des symptômes difficiles à interpréter

Rapide, le développement d'une tumeur au pancréas peut se manifester par des douleurs fortes et persistantes derrière l'estomac ou au niveau du dos, en particulier lorsque le cancer est localisé à la queue du pancréas.

Des troubles de la digestion peuvent également survenir : perte d'appétit, difficultés à digérer, nausées... qui s'installent dans le temps pendant plusieurs jours voire plusieurs semaines. Un des symptômes majeurs qui doit alerter, c'est le jaunissement du teint des personnes touchées. Une jaunisse qui peut également s'accompagner de démangeaisons, signes que la bile fabriquée par le foie ne s'écoule plus correctement. Ces symptômes sont plus fréquents pour des cancers qui se développent à la tête du pancréas.

Si le cancer du pancréas reste l'un des plus meurtriers, la prise en charge fait néanmoins quelques progrès. "Beaucoup de gens continuent de mourir. Mais ce qui est clair, c’est qu’on freine l’évolution de la maladie, il y a un allongement de la survie à moyen terme", explique le Pr Pascal Hammel, gastroentérologue spécialiste des cancers à l'hôpital Beaujon.


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LA BACTÉRIE TUEUSE ...

 

Bébés de Chambéry : on connaît enfin le nom de la bactérie tueuse
Par Lise Loumé


C'est un micro-organisme jusqu'alors inconnu qui a causé le décès de trois nouveau-nés à l'hôpital de Chambéry en décembre 2013.

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FAITS. En décembre 2013, trois nourrissons décédaient d’un choc septique (insuffisance circulatoire aiguë due à une infection bactérienne) à l'hôpital de Chambéry. Tous avaient reçu des éléments nutritifs (glucose, lipides, vitamines, etc.), via la perfusion de poches alimentaires. En analysant ces poches (censées être stériles comme tous les produits injectables), des chercheurs de l’Institut Pasteur avaient établi dès janvier 2014 que six d’entre elles étaient contaminées par une bactérie jusqu'alors inconnue.
Vers un test qui détecte cette bactérie
Baptisée par les chercheurs Rouxiella chamberiensis (en références à Émile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur, et au lieu de la découverte), cette bactérie vient d’être officiellement reconnue par le Comité international de taxonomie bactérienne. Les scientifiques ont publiés ce mardi 17 mars 2015 un article dans la revue International Journal of Systematic and Evolutionary Microbiology dans lequel ils indiquent l’ensemble des données de séquençage du génome de la bactérie ainsi que sa caractérisation complète.

Et cette bactérie possède une propriété étonnante : elle se multiplie à une température de 4°C, alors que la plupart des bactéries de sa famille (appelées entérobactéries, représentées dans l'arbre phylogénétique ci-dessous) sont incapables de se développer en-dessous de 8°C. De plus, elle se met en latence et cesse sa croissance à 37°C. "Les souches bactériennes isolées, ainsi que toutes les données génomiques collectées ont été mises à disposition de la communauté scientifique en libre accès", précise l'Institut Pasteur.

Arbre phylogénétique des bactéries. Pourcentage de divergence.
Les scientifiques publient aujourd’hui l’article instituant la reconnaissance officielle et la caractérisation complète de cette bactérie, appartenant à un nouveau genre. Celle-ci a été baptisée Rouxiella chamberiensis, en hommage à Emile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur qui dirigea l’Institut Pasteur de 1904 à 1933. L’ensemble des données de séquençage, ainsi que de la caractérisation de cette bactérie, ont été mis à disposition de la communauté scientifique et médicale. - See more at: http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/documents-presse/nourrissons-chambery-rouxiella-chamberiensis-nouvelle-bacterie-identifiee-par-l-institut-pasteur-officiellement-reconnue#sthash.VxvS0oBe.dpuf
ENQUÊTE. Les chercheurs de l'Institut Pasteur travaillent actuellement à la mise au point d’un test de détection spécifique à Rouxiella chamberiensis. Par ailleurs, ils doivent également apporter leur expertise dans le cadre de l’enquête judiciaire, qui devrait permettre d’établir le scenario de contamination des poches de nutrition, et de comprendre d’où provient cette bactérie, ainsi que son mode d’action.

 

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LES FRITES DE McDonald's

 

 McDonald's : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés

FRITES. Bon, déjà, on vous rassure tout de suite, il y a bel et bien de la pomme de terre dans les frites de McDonald's. Pour le reste, c’est plus compliqué… Pas moins de 18 autres ingrédients sont utilisés. L'ingénieur journaliste Grant Imahara, diplômé de l'université Californie du Sud, a été accueilli dans une usine de fabrication pour suivre l'ensemble de la chaîne de fabrication, assez impressionnante. Pour autant, il ne faut pas s'attendre à des révélations fracassantes puisque la visite a été très encadrée et sert désormais la promotion du géant de la "junk-food"... Parmi ces ingrédients on trouve des composants assez classiques comme le sel bien sûr, mais aussi l'huile de canola, de soja, des arômes naturels de bœuf ou de l'acide citrique. Plus surprenant en revanche, le recours à une forme de silicone assez commune dans les shampoings : le dimethylpolysiloxane (persévérez…) qui est ajouté pour éviter que l’huile ne mousse au moment de la cuisson. Un composé également utilisé dans les sodas au cola. Ou dans le Silly Putty, un caoutchouc très particulier.



APPROUVÉ. Selon le reportage (approuvé par McDonald's) aucun de ces composants ne constitueraient un risque pour la santé des consommateurs. Notons néanmoins que les recettes commercialisées sont parfois très différentes d'un pays à l'autre. Rien ne nous permet donc d'affirmer que, si vous ne vivez pas aux États-Unis, les frites que vous trouverez à votre prochain passage au fast-food sont faites de la même façon que cela est présenté dans ce reportage. Rappelons en outre que les produits proposés par les fast-foods sont en général très riches en graisses et tendent à favoriser l'explosion du nombre de personnes obèses risquant à terme de développer des maladies comme un diabète de type 2.


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LE BIG MAC ...

 

Ces substances que nous cache… le Big mac !


Si on pense aux produits symboles de la mondialisation, le produit phare du géant du fast-food McDonald’s, le Big Mac, hamburger de deux étages que tout le monde connaît, fait partie des plus évidents exemples. Il est incontournable dans notre série « Ces substances que nous cachent…. les produits stars« . Oui, au fait, le Big Mac aurait-il des choses à nous cacher ?
Au sommaire :
Ces substances que nous cache… le Big mac !
Big Mac : à quelle sauce le manger ?
Le Big Mac, bombe calorique
Où peut-on échapper à McDonald’s dans le monde ?
Comment éviter les pièges du marketing alimentaire ?
Bientôt plus de gobelets en polystyrène chez Mc Do
Le burger le plus répandu dans le monde
Jon Betts Une photo représentant le Big Mac.
C’est à Pittsburg en 1967 qu’est né le Big Mac. Il a été « inventé » par un responsable de restaurants McDonalds en franchise, Jim Delligatti. Il voulait trouver un produit qui se vende bien et qui fasse venir les gens dans les 12 restaurants en franchise qu’il possédait à Pittsburg.
Le burger à 2 étages, avec 2 steaks, de la sauce (dont la recette était soi-disant secrète !), de la laitue, du fromage, des oignons et du pain aux graines de sésame était né. Il a tout de suite fait fureur ! Mais il a fallu attendre plus de 2 ans avant que la direction de McDonalds accepte de le mettre au menu de tous ces restaurants.
Planetoscope : aujourd’hui, le Big Mac est vendu dans plus de 120 pays et à plus de 900 millions d’unités dans le monde par an.
Le Big Mac, tout beau, tout bon ?
Pourquoi un simple burger a-t-il eu, et a-t-il toujours autant de succès dans le monde ?
1- Un look de pub !
On a tous en tête une image publicitaire du Big Mac. Il est vrai que la photo est belle : 1 pain grillé au sésame, 2 steaks hachés cuits à point, du fromage fondant, quelques feuilles de salade bien verte, des cornichons, des mini-bouts d’oignons et une sauce qui dégouline légèrement. Ça c’est sur la photo. Et ça peut effectivement faire envie…
La réalité est tout autre. Tout est plus petit, beaucoup moins coloré, beaucoup plus ratatiné sous la tranche de pain ! La salade s’éparpille et le fromage colle à l’emballage… Une vidéo de McDonald’s Canada tente de nous expliquer pourquoi Big Mac est si séduisant à la télé.


Il est vrai que si les produits étaient un peu plus gros et si les employés prenaient plus leur temps pour cuisiner, l’aspect serait peut-être plus soigné. Dans ce cas-là, on n’appellerait plus McDo un fast-food !

2- Le Big Mac, un goût universel ?
L’autre raison qui pourrait expliquer le succès résiderait dans son goût standardisé dans le monde entier. En effet, l’objectif du Big Mac serait d’avoir la même saveur en France qu’au Japon ! N’est-ce pas contradictoire quand on sait que le goût dépend énormément de la culture ? Un chinois n’a pas les mêmes attentes gustatives qu’un mexicain !
En réalité, McDo ferait presque dans le local : le site officiel de la marque affirme que les matières premières sont fournies à 70 % par des producteurs français. C’est le cas de la France et des États-Unis. Mais qu’en est-il des autres pays ? Rien n’est dit sur ce point.
Beaucoup accusent la sauce Big Mac d’être à l’origine de leur addiction au goût du burger. Sa recette n’est plus secrète, comme on le verra plus loin : une vidéo officielle en anglais dévoile un chef McDo en train de la fabriquer. Alors est-ce une sauce vraiment incomparable ou juste… une question d’addiction au gras ?
Les ingrédients et la composition nutritionnelle
Afin de mieux comprendre cet intriguant burger, il a fallu aller piocher des informations sur la composition du produit sur le site français officiel  : «Deux steaks hachés, du cheddar fondu, 3 buns de pain, des oignons, des cornichons, deux lits de salade et une sauce inimitable». Pas beaucoup d’informations sur les ingrédients, mais un tableau nutritionnel est présent donnant quelques informations sur le site (voir également sur mcdonaldsmenu.info). Il faut aller sur le site américain pour en savoir un peu plus sur la liste des ingrédients.
Dans la suite de l’article, les informations sur les ingrédients en France sont néanmoins traitées. Les informations sont fournies par l’Agence Protéines (conseil en nutrition de Mcdonald’s France).
1- Des additifs dangereux
Première impression en lisant les ingrédients : on identifie seulement la moitié des composants ! Les autres sont plus subtils, et ce sont pour la plupart des additifs alimentaires (donc des E…). Si de nombreux ne sont pas dangereux, un bon paquet est à éviter et certains pourraient même être cancérigènes !

Les additifs à éviter si possible !
Les additifs suivants sont dans le Big Mac : propionate de calcium E282 (dérivé de l’acide propionique E280 pouvant être cancérigène selon les sources1),  acide lactique E270 (peut être d’origine transgénique), benzoate de sodium E211 (potentiellement cancérigène et allergène2), E200 (interdits en agriculture bio),  lécithines E322 (non toxique mais peut être transgénique) > Les additifs alimentaires : la fiche pratique
Par la suite, l’Agence Protéine (agence en conseil et qualité nutrition de McDonald’s France) a fait part de ses remarques : « la sécurité de chaque additif autorisé en Europe fait l’objet d’une évaluation menée par l’EFSA.
Leur utilisation est autorisée par la Commission Européenne, après évaluation et démonstration de leur sécurité et innocuité. Ils ne présentent donc aucun risque pour la santé.«
2- Des OGM dans le Big Mac ?
Et en ce qui concerne les OGM ? Beaucoup d’entre nous auraient tendance à dire que le McDo c’est du 100 % OGM, cependant en regardant le site officiel on risque d’être surpris.
Les produits ne sont en effet pas étiquetés OGM conformément à la loi française : en effet, « Un produit « non OGM » est un produit qui contient moins de 0,9 % d’OGM. Au dessous de ce seuil, l’étiquetage « peut contenir des OGM » n’est pas obligatoire« . Alors en dessous de ce seuil, il risque d’y en avoir ? La réponse est clairement oui, mais pas moyen de le savoir avec certitude.
On sait cependant que certaines matières premières ont dû être quand même remplacées pour être conformes à la loi française : les huiles de soja ont fait place à l’huile de colza non OGM. Concernant la nourriture des animaux, elle est garantie non OGM pour les poulets, mais pas pour les boeufs à cause de la « complexité de la filière bovine« .

 

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